Auteur de la chanson originale: Kate Bush
Titre original: "Lily" puis "The Red Shoes"
Goguettier: Nicolas
Texte de la goguette:
[Lily]
[Parler avec une voix de vieux !!!]
Alors je luis dit
"Voilà …
Une idée me trotte
dans la tête
comme un ver qui
creuse des trous dans mon cœur."
Y'm réponds "Tu
sais,
je ne suis qu'un
banquier .
Tout ce que je peux
te préter
est un peu de
potentiel.
*Com … prends …*
que tu devras solder
*ce … que … *
tu vas me demander.
Je suis un commerçant
honnête
intransigeant sur les
termes.
*Mainte … nant …*
ennonces ce qe tu
veux."
J'lui dit
"Banquier
J'arrive au bout de
ma vie
mais je n'ai pu
satisfaire toutes mes envies."
Il me dit "Très
bien.
Pour ça faut du temps
et comme tu en
manques,
on va allonger ton
espérance vie.
*Signes … là …*
C'est un contrat
standard.
*Une autre i … ci …*
Prends cette carte
bleue d'abondance.
Je vais passer un
coup de fil
aux trois sœurs
Moires & Parques
*Prépares … toi …*
Le meilleur commence
maintenant !
[Main crispée sur le cœur]
*toudi*
*dumdidum*
*dumdidum*
*dumdidum*
*dumdum*
*dumduuuu-um*
*rrrrrroooaaargh*
[Commencer la phrase vieux et la
finir jeune]
Je me sent revivre !
[The Red Shoes]
Oh mes articulations
sont jeunes !
Des cheveux ! Noirs
épais et broussailleux !
Une peau lisse comme
un raisin …
Et l'esprit !Aiguisé
comme une épée !
Je me lève … et je
danse …
Tout ça n'a rien d'un
rêve : mon corps vibre d'énergie.
Dans le miroir … y'a
des yeux …
Sous ces yeux … des
dents blanches …
Et ce visage … est le
mien !
Oh je sort en courant
et j'embrasse
La première belle que
je croise
Oh la nuit et la
sueur
On achevé … les draps
de son liiit …
Et j'entends encore
ses soupiiiirs …
Et j'entends encore
ses soupiiiirs …
Oh je fait un salut
joyeux
en croisant ce bon
banquier.
Il me retourne ce
sourire espiègle.
Il a des yeux rouges
? … Qu'importe … Qu'importe …
Sur son front … y'a
des cornes …
Dans sa main … une
fourche …
Et sa banque … est en
feu !
Oh je préfère
détourner les yeux
et peindre de
nouvelles idé-ééées.
Oh je part exposer
Et je deviens
connu-uuuu.
Et l'argent coule !
Il coule à flots !
C'est-une-vrai-fon-taine-de-bi-llets
!
Mon nom dans les
journaux ! Et la célébrité !
Qui-me-pro-pulse-mé-cène-des-grandes-cha-ri-tés
!
On me sollicite en
politique,
Mes placards se
remplissent de squelettes,
Des envieux me
lancent des lettres assassines,
Ca va trop vite … Je
sent venir l'infarct.
Oréolé … mon banquier
Avec une paire
d'ailes au dos
s'envole dans le
ciel.
C'est mon âme qu'il
emporte,
pour prendre sa
retraite.
Je dois trouver !
Trouver un pigeon !
Et lui échanger ma
vie tant que c'est possible.
Je sent brûler ! Un
feu d'enfer !
Je dois maquiller ces
cornes qui me poussent …
Appelez un docteur !
Et un pompier !
Parce que ce feu est
contagieux !
Bon dieu faites qu'il
ne soit pas trop tard …
Je tremble de peur
qu'il soit trop tard ...
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